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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 08:47

Alors que le jour finit,

Sous le soleil frissonnant,

Du tout nouveau printemps,

Crocus et primevères,

Jonquilles et violettes,

Se marient pour nous offrir

La plus belle des palettes.

fleursde-printemps.jpg 

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 08:34

brindilles.jpg

Quelques brindilles, sur le sable posées.

Par les vagues écumeuses.

Que son regard effleure, sans les voir.

Dans le lointain, dans la nuit noire,

feudartifice.jpg

Eclate un feu d’artifice.

Mais nulle joie n’effleure son sourire.

Sur la plage, s’agite une foule,

Au son de la musique, douce houle.

empreintes.jpg

Elle s’éloigne doucement,

Ne laissant sur la plage,

Que les traces de ces pas.

les musiciens rangent, fatigués

Au petit matin, et

 sur la plage abandonnée,

Ne reste qu’une chaussure…

abandon.jpg

Elle s’en est allée, elle aussi au gré des vagues.

 

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 12:44

         Textoésie de Suzâme pour la communauté "Textoésie"

                            73405094.jpg

                                   Boutons d'or, jonquilles

                                         Envie de lumière

                                            Don du soleil.

 

 

 

images.jpg

Ma participation pour ce thème :

 

Doucement, elles déploient leurs pétales,

comme étourdies par tant de douceur.

Embuées de rosée,

fleurs de printemps,

vous ramenez les couleurs du temps.

 

 

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 09:44

contrejour.jpg

                                                    Contre-jour

                                   Huile sur toile de lin

Fleurs d'été

Embellit notre vie.

richesses de la terre,

pour que vive la vie.

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 09:23

fauve10.jpg

                             Les  coquelicots, huile sur toile de lin 


Ils dansent, dansent,

Dans le vent chaud de l'été.

Ils dansent leur fragilité.

Ils dansent jusqu'au soir.

Et se fanent avec la lune...

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 09:16

Bonjour à tous !!

Je suis en retard de tout  et mince !! 

Alors je vous livre les toiles de ces derniers mois :

lamaisonauxhortensias

                                          Huile sur toile de lin

 Dans un  village

Oubliée, elle s'abime,

petit à petit dans l'oubli.

Ses murs ont gardé l'écho

Des rires d'enfants.

et elle pleure, 

tous ses souvenirs....

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 17:38

Bonjour à vous, 

Hier, un défi, avec les croqueurs de mots, mais je restais sur un sentiment d'inachevé, alors, me voici repartie avec cette sorcière derrière sa fenêtre et je  vous propose la fin de mes cogitations...

 

 

 

Il faut dire, qu’elle léchait du petit lait, là, derrière sa fenêtre.

Tous les jours, têtue comme une bourrique, elle épiait son monde.

Elle n’y allait pas avec le dos de la cuiller, soit dit en passant.

Mine de rien, tel un serpent dans son nid,

Elle portait  haut l’étendard de la vilenie.

Le bonheur la laissait de  glace.

Mais elle suçait de la glace à distiller son venin.

Il faut dire, que la pauvre n’était pas gâtée par la nature.

Celle-ci lui ayant fait faux bond.

Moche comme un pou, elle cherchait des noises,

A tout un chacun.

Les enfants la fuyaient, comme la peste,

Ou un bouton mal placé, comme  vous  voulez.

Un  jour, sans rime, ni raison,

Que le nez au vent,

je passais par ici.

La voici, toutes voiles dehors,

Qui sans forme de procès m’invective, telle une harpie :

Mais regardez-moi cette trotte-menu,

Qui musarde et sans prendre garde à rien,

Traine ses sabots avec son suivez-moi jeune homme !!!!

Et moi, j’allais.  

Rougissant  comme un coquelicot, je rasais les murs.

Je n’en menais pas large,

face à cette parangon d’injustice.

Elle ricanait de tout son dentier.

Et elle avait la dent dure,

cette mégère échevelée.

Alors vous qui passez par ici

Prenez garde à vos abattis,

une envolée d’injures, sera votre dû.

 

 

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 08:59

Bonjour à vous !!!

 

Bon, bon, suis pas sure d'avoir tout compris mais enfin voici ma petite participation à ce défi, rien à voir avec m'selle Bibi !!!!

Il faut dire, qu’elle léchait du petit lait, là, derrière sa fenêtre.

Tous les jours, têtue comme une bourrique, elle épiait son monde.

Elle n’y allait pas avec le dos de la cuiller, soit dit en passant.

Mine de rien, tel un serpent dans son nid,

Elle portait  haut l’étendard de la vilenie.

Le bonheur la laissait de  glace.

Mais elle suçait de la glace à distiller son venin.

Il faut dire, que la pauvre n’était pas gâtée par la nature.

Celle-ci lui ayant fait faux bond.

Moche comme un pou, elle cherchait des noises,

A tout un chacun.

Les enfants la fuyaient, comme la peste,

Ou un bouton mal placé, comme  vous  voulez.

Prenez garde à vos abattis, si vous passez par-là,

Une envolée d'injures,  sera votre dû.

 

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 15:46

M’selle Bibi,

Tous les soirs la retrouvaient là,

À ce coin de rue.

Ce n’était pas lui faire offense,

Que de lui lancer une œillade.

M’selle Bibi, souriait, gentiment.

Elle ne faisait pas de façons.

Elle était là pour le bonheur,

Se disait-elle.

Elle cachait sa belle chevelure,

Sous un joli bibi,

Qui semblait dire à tout un chacun :

Qui m’aime me suive !!!!

Son petit visage si frais, riait,  

Comme rit le soleil après la pluie.

Un jour pas comme un autre,

Un homme est venu.

 Qui a su reconnaitre son tendre cœur.

Ni une ni deux, ils se sont mariés.

Son rire, fusait dans toute la maison.

L’hirondelle du faubourg,

A su trouvé l’amour.

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 10:39

De mes silences,

S'élèvent, comme un cri,

les peurs et les peines.

D'un coeur ouvert et qui s'oublie,

pour que l'autre puisse y trouvé refuge.

Refuge des larmes qui apaisent.

Reste ce silence, qui n'en est pas un.

Du regard, je suis cet homme,

Abattu, de trop de désespoir.

Qui se tait sur cette douleur.

Et s'appuie, sur le passé.

Pour revivre l'absence,

l'absence de ce père,

trop  vite parti.

Les nons-dits, resteront,

comme autant de blessures.

Olga Guyot

 

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